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sac longchamps pliage la culture pop bon marché

已有 125 次阅读  2013-04-24 15:03   标签chemise  longchamps 
; de même, cr?nes, bagnoles, petits chiens, jouets, vulgarité, sont sans doute les stéréotypes, les clichés que se font des classes populaires les faiseurs contemporains. Ce kitsch se réfère donc pour parfaire son arrogance provocatrice à certains codes habituels des quelques signifiants des classes populaires, les "nains de jardin" et les "toutous", les objets en ballons gonflables, les méchants canevas de mercerie, les cr?nes, des tatouages de bidasse, la bagnole de sport, le porno (Koons et la Cicciolina), la culture pop bon marché (la langue des Rolling Stones - rachetée récemment comme logo...). Manière de se gausser du mauvais go?t des classes dominées, manière de s'approprier leurs ic?nes pour les abrutir encore plus et se les soumettre en les passant à la moulinette de la monumentalité et du luxe, ce que "eux" ne pourront jamais se payer, même pour valoriser leurs propres signes. Il s'agit d'établir la frontière, le mur, entre des mondes, destinés à ne plus se rencontrer. L'esprit, la connaissance, le go?t, la sensibilité, la culture et les références n'ont plus cours dans ces ?uvres de pouvoir,sac longchamps pliage. Le signe de reconnaissance est le postmodernisme luxueux. Il faudrait maintenant, en manière d'art, prendre son parti que, là aussi, il n'y a plus de sens à chercher, plus d'évolution, ni d'esprit de sérieux ou d'enthousiasme, ni de quête, ni d'idéal,chemise burberry homme, ni bien s?r d'émotion au pays du cynisme roi. Art de gamins blasés et de bébés rassasiés, d'enfances g?tées. Surcharges pondérales du go?t. Insulte délibérée de classe, ces artistes sont complices. La complicité va encore plus loin, quand l'architecture et les institutions s'en mêlent, faisant fleurir des fondations et des musées luxueux, audacieux et architecturalement bavards, comme le Musée d'Orsay en avait montré le chemin, aux missions obscures. Même à Beaubourg, architecture cohérente, démocratique et lisible, qui à l'origine, en tant que musée, devait abriter, sélectionner et proposer à l'esprit des collections permanentes, permettant de réfléchir, comparer,polo lacoste pas cher, prendre du recul, évaluer et enfin penser notre époque, c'est le tourbillon spectaculaire des collections et des oeuvres, comme au Palais de Tokyo et dans tous les musées contemporains. Même au Havre, où il est dorénavant impossible de voir des Dubuffet, constamment remplacés par des gloires éphémères. Ne parlons pas des machines à monumentalité et à spectacle des grandes fondations et des musées récents dont personne n'est en mesure de dire ce qu'elles abritent, le Musée Guggenheim de Bilbao en étant le plus flagrant modèle. Le bilan est celui d'une époque qui ne se donne plus les moyens de réfléchir, de penser, de comparer, de prendre du recul, de voir, revoir et assimiler, mort des musées. Je ne dis pas ici que les grands bourgeois aient forcément mauvais go?t, les fondations, Gulbenkian de Lisbonne et Thyssen de Madrid, Saatchi à Londres, entre autres, le montrent, à l'évidence, mais de même qu'un capitalisme fin Related articles:

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