,lunettes ray ban soleil?L’anti-roman poussé à ce point, comment dire en un mot, ?a me navre.Mikael EON Tout cela semble très juste, et on se fait souvent de telles réflexions en lisant Houellebecq ; je me suis pourtant demandé pourquoi malgré ces énormes réserves, j éprouvais quand même un plaisir amer à le lire la médiocrité environnante n explique pas tout. C est qu il y a quand même une vision burlesque des choses qui semble appropriée dans l océan de sérieux affecté et d empathies contrefaites que sont devenues les lettres fran?ouaises. Il dit Balzac ; peut-être faut-il comprendre Rabelais . Certes, si on attends une histoire valable on en est pour ses frais ; mais douche de sperme en italique, c est quand même rigolo Laisser un commentaire Annuler la réponse. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec * Nom *Adresse de contact *Site web Commentaire Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML: a href= title= abbr title= acronym title= b blockquote cite= cite code del datetime= em i q cite= strike strong A propos de ce blog Deviens fan sur Facebook Recherche pour:Shabazz Palaces, le hip-hop louche | A la recherche des sons perdus
J'avais déjà parlé de Digable Planets, "hip-hop jazzy passé comme une comète dans le ciel" de 1994. Un groupe immense, que le succès commercial a soigneusement évité. Voici son prolongement indirect, vingt ans après l'impact initial,ralph lauren polo big pony. Shabazz Palaces n'est pas un clone, seul Ishmael "Butterfly" Butler, rebaptisé Palaceer Lazaro, est impliqué. C'est une réincarnation futuriste, la vibe est intacte, seuls les habits changent.Cette volonté de hip-hop ambitieux, hypnotisant à un degré assez impressionnant, je l'ai retrouvé dès la première écoute de leur album ( deux EPs autoproduits,lacoste femme, Shabazz Palaces et Of Light, et une collaboration avec Stellar OM Source valent également le détour) comme on retrouve un vieux pote perdu de vue, au détour d'un hasard. ?a m'a scotché quelques heures, je me suis glissé dedans, ?a m'a finalement vêtu plusieurs jours.T'as toujours les adjectifs : Abstract rap ; Arty-hop ; Post-hip-hop. Mais ils ne font pas honneur à la portée de cet album ou à la démarche de Shabazz Palaces, qui prend continuellement des risques en se penchant au-dessus de la rambarde des codes que cette scène, comme toutes les scènes, s'est fabriquée toute seule. Le flow est toujours précis cassant, rehaussé par des siroccos électroniques, des prods qui au mieux sortent de la galaxie Clams Casino, au pire sont un poil plus incertaines, atteintes de strabisme, lorgnant à la fois sur du Suicide et sur le territoire d'Anticon.Chose rare, ils savent faire le vide autour d'eux et définir leur propre équilibre, on le con?oit bien après avoir rouillé cet album. Qu'il sorte sur Sub Pop est finalement anecdotique, ceux qui affectionnent ces sons élevés dans la marge les auront débusqués d'une fa?on ou d'une autre. Ishamel/Palaceer a confié à Pitchfork, qui l'a so?lé récemment pour une in Related articles:

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