ller retirer 150 000 euros, précisant que c'est "pour financer la campagne présidentielle de Sarkozy ! Je dois donner de l'argent à celui qui s'occupe du financement de la campagne, Eric Woerth,
sac burberry. Et 50 000 euros, ce n'est pas suffisant". Claire T. poursuit en disant qu'elle a demandé l'avis de son interlocutrice à la BNP, qui lui conseille de refuser : "Il ne fallait pas que je dépasse mon accréditif,
polo ralph lauren femme, sinon cela risquait d'alerter Tracfin [le service antiblanchiment de Bercy]. Donc je me suis rendue comme d'habitude avenue de la Grande-Armée, j'ai retiré 50 000 euros, que j'ai remis à Liliane Bettencourt, qui a ensuite donné l'enveloppe à Maistre, devant moi."Elle assure que M. de Maistre a prélevé "en urgence le complément, à savoir 100 000 euros", avant d'aller "d?ner avec Eric Woerth afin de lui remettre, 'discrètement', comme il m'a dit, les 150 000 euros" qui ont servi à la campagne présidentielle de 2007,
sac burberry pas cher. "Maistre était très fier de c?toyer Sarkozy",
polo ralph lauren pas cher, se souvient Claire T., affirme Mediapart."Nicolas Sarkozy était souvent l'h?te des Bettencourt", poursuit l'ex-comptable avant d'accuser. "Nicolas Sarkozy recevait aussi son enveloppe, ?a se passait dans l'un des petits salons situés au rez-de-chaussée, près de la salle à manger. ?a se passait généralement après le repas, tout le monde le savait dans la maison. [...] Tout le monde savait dans la maison que Sarkozy aussi allait voir les Bettencourt pour récupérer de l'argent. [...] Le jour où il venait,
survetement lacoste, lui comme les autres d'ailleurs, on me demandait juste avant le repas d'apporter une enveloppe kraft demi-format, avec laquelle il repartait."L'Elysée dément. Eric Woerth n'a pas l'intention de démissionner,
chemisier burberry. Dans la matinée,
lunettes de vue, un porte-parole de l'Elysée a démenti, qualifiant les accusations de "totalement fausses". En ce qui concerne le financement de la campagne de 2007, il précise : "Cela semble infondé, mais il faut voir avec le trésorier de la campagne", qui n'était autre qu'Eric Woerth. Eric Woerth conteste les allégations de l'ex-comptable de Liliane Bettencourt, disant s'en remettre à une enquête administrative commandée par son successeur au budget, Fran?ois Baroin,
lacoste femme, à l'Inspection générale des finances. "?a fait huit ans que je suis trésorier de mon parti, je pense qu'on a vraiment rien à me reprocher, tout est clair,
sac longchamp, tout est propre. On peut toujours croire à tous les ragots qu'on veut, je n'ai jamais touché sur le plan politique le moindre euro qui ne soit pas légal", a dit Eric Woerth sur iTélé. "C'est inacceptable, moi je commence vraiment à en avoir assez de ?a, je le dis avec une certaine virulence, parce que maintenant ?a commence à bien faire", a-t-il ajouté. "Je compte beaucoup aussi sur un rapport, de l'Inspection générale des finances,
pull ralph lauren, qui [ne] sont pas vraiment des gens faciles, ce sont des gens autonomes. L'inspection dira si oui ou non il y a un lien entre je ne sais quoi et moi comme ministre du budget", a-t-il poursuivi. Le ministre revient sur des mises en cause de son épou
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