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sac longchamps soldes explique Bhajju Shyam. Ceux qui rencontrent le succès

已有 86 次阅读  2013-04-24 03:29   标签sac  longchamps  ralph  lauren  pas  cher 
à ses c?tés, après avoir été gardien de nuit, continue dans le même esprit. Parti à Londres peindre des salles de restaurant, il en est revenu avec des dessins publiés dans The London Jungle Book (éditions Tara). Les avions y sont peints en éléphants avec des ailes, et les Londoniens, en chauves-souris. "Contrairement au village d'où je viens, les habitants de Londres sortent le soir plut?t que de rentrer chez eux. Et la nature, les animaux, me viennent toujours en premier à l'esprit,sac longchamps soldes, décrire la ville demande trop d'effort", confie Bhajju Shyam. Quand la BBC lui demande un logo, il propose un oiseau avec des antennes à la place des plumes. Et lorsque le groupe de communications WPP lui demande d'illustrer son rapport annuel, il peint un oiseau qui sort d'un ?uf marqué des logos des filiales ou, à la page "résultats financiers", un oiseau qui couve dans un nid. Bhajju Shyam a arrêté la publicité et vit désormais de ses peintures.APPARENTE NA?VET?Longtemps tenus à l'écart du marché de l'art indien pour leur apparente na?veté, les artistes Gond sont désormais très courtisés. Nombreuses sont les galeries, à Bombay et Delhi, à exposer leurs ?uvres. La Fondation Devi Art organise actuellement et jusqu'au 28 février à Delhi la plus grande exposition jamais consacrée à l'art tribal indien contemporain.Les jeunes Gond qui espèrent faire fortune sont nombreux à tenter leur chance à Bhopal. "Mais la plupart se contentent de copier ce qu'ils voient car ils veulent gagner de l'argent rapidement,sac burberry. Il faut au contraire trouver son style, ce qui demande de la patience", explique Bhajju Shyam. Ceux qui rencontrent le succès, se convertissent à la vie moderne et habitent de confortables maisons du centre-ville.A deux pas de chez Bhajju Shyam, DurgaBai Vyam termine des peintures pour un dessin animé commandé par une maison de production de Bombay, et une bande dessinée consacrée à la vie du docteur Ambedkar, héros du mouvement d'émancipation des intouchables. Durga Bai Vyam, qui peint, assise en tailleur sur le sol en marbre de son salon, entourée de ses assistantes, avait pourtant peur d'arriver en ville, il y a vingt ans. "On m'avait dit de ne toucher aucun produit électrique car ils pouvaient tuer", se souvient-elle.Désormais, elle peint, et raconte les mythes de sa communauté comme s'ils venaient de se manifester sous ses yeux. Celui de la déesse Bambou par exemple, née du corps sans vie d'une femme assassinée par ses frères pour qu'ils puissent boire son sang. Ou encore l'histoire d'un dieu qui, en volant le soleil, fit dispara?tre les jours. Enfin, celle d'une antilope qui tombe amoureuse d'un poisson après l'avoir rencontré en se désaltérant dans la rivière. Durga Bai Vyam décline ces mythes à l'infini dans ses toiles qu'elle prend soin, désormais, de signer. "Je me sens aujourd'hui valorisée. Les gens s'intéressent à mon ?uvre depuis que je suis arrivée ici", confie l'artiste,polo ralph lauren pas cher. L'art tribal doit son apparition au papier et à la toile. "La toile, transpor Related articles:

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